SETH&LEXIE → we finally meet

« we finally meet»

Je n'étais pas très enthousiaste à l'idée d'avoir une colocataire de sexe féminin, pour être honnête. Quand j'ai reçu l'habituelle lettre qui m'annonçait le numéro de ma chambre et mon colocataire... je n'y croyais pas. Ok, tout le monde sait qu'à St. Kentigern quelques chambres sont mixtes... mais pas beaucoup. Vraiment pas beaucoup. Et il avait fallu que ça tombe sur moi. J'avais maudis intérieurement puis extérieurement - avec quelques insultes cruelles sachant que je ne connaissais même pas cette fille, une certaine Alexie Hudson. Et je savais que tous les autres mecs du pensionnat - mis à part les gays, qui constituent un chiffre assez important, auraient volontiers pris ma place. Car pour eux, l'équation d'un chromosome X avec un chromosome Y dans une chambre, elle résultait forcément à du sexe en folie pendant tous les jours de l'année. Mais moi.... ça ne me dérange pas de baiser. En fait, on peut même dire que je kiffe un peu. Mais une fille ça parle, ça veut vraiment communiquer et ça fout de la tension sexuelle dans l'air. Tout le temps. Et je n'étais pas vraiment chaud pour ça.... faire semblant d'être gêné quand je vois une meuf à poil, répartir des horaires de douches pour ne surprendre personne, lui laisser de l'intimité avec des copines.... Hahah, je voulais vraiment pas d'emmerdes. Ou alors, j'aurais pu juste la baiser pour éclipser les horaires de douches et la fausse gêne. Ou pas... Car on peut pas sauter une fille et cohabiter avec. Il risque d'y avoir encore plus de tension : car la plus libertine des filles serait elle-même vexée si je l'ignore après avoir copulé avec.... ce que je fais habituellement avec mes " conquêtes ". Ou pire, elle voudrait une suite ou qu'on devienne des " sexfriends "... mais je me lasse vite. Et j'ignore encore plus. Bref, sexe ou pas, cette Alexie ne me présageait rien de bon.

Et le jour était arrivé. Le jour où je la rencontrais - où j’emménageais dans ma nouvelle chambre, en gros. Je n'étais pas vraiment stressé, juste résigné à toutes les emmerdes que cette fille allait surement m'apporter. Je poussais ma petite valise pas très remplie dans la chambre - en fait, c'était une sorte de très petit appartement avec une chambre avec deux grands lits, une salle de bain et un dressing et un petit coin avec deux fauteuils. C'était assez joli , après ils nous laissaient décorer... pour ceux qui avaient les moyens, car je ne pouvais pas vraiment me permettre de tout épuiser dans de la déco vintage. Mais vraiment trop étroit pour vivre avec une fille, sérieusement. Je regrettais déjà mes deux anciens colocataires, un geek qui ne parlait jamais puis un mec de l'équipe de natation qui me saoulait.... jusqu'à ce qu'il se prenne mon poing en pleine face et devienne docile. Je décidais donc de faire ça à la fille si elle devenait trop encombrante. Je poussai la porte de la chambre, poussai ma valise contre le mur puis me lançai sur mon lit négligemment en attendant l'arrivée pas tant attendue de ma nouvelle colocataire.

« we finally meet»

A vrai dire, je n'avais pas vraiment envie de commencer cette journée. J'avais reçue il y avait peu, la lettre m'annonçant avec qui je partageais ma chambre. C'était ma première année ici, et je ne m'attendais pas à avoir cette annonce. Autant dire que j'espérais être avec une jeune fille plutôt silencieuse qui ne m'embêterai pas avec ses histoires d'amours ou encore pour ses vêtements. Mais lors de cette annonce, j'avais complément décroché le rêve d'avoir une fille silencieuse...Un mec dans ma chambre ? Comme cela pouvait être possible. Je savais qu'il y avait quelques chambres mixtes à Kentigern, mais je ne pensais en aucun cas faire partie d'une de ses chambres. Lorsque mes parents apprirent ça, ce ne fut pas la joie pour eux non plus. Même-ci ils avaient confiance en moi, ce n'est pas pour autant qu'il m'aurait laissé y aller sans un discours basique sur le "sexe". J'osais espérer que ma mère ne me ferait pas un long discours sur comment mettre un préservatif ou un truc dans le genre. Et pourtant-ci ! S'ils savaient que j'avais appris à faire ça en quatrième et que j'avais presque vomit à l'idée de faire ça à un mec, ils se seraient stoppé direct. Et puis de tout de façon, je l'avais déjà fait avec une fille, je ne vois pas pourquoi mes parents pourraient croire que je me laisserais dévergonder par un jeune homme ! Et même-ci il serait canon, je n'étais pas à ce lycée pour être dépucelé ! Loin de là !

Il était l'heure d'y aller, et pourtant je restai sur ce pallier pendant plus de cinq minutes. Je n'avais aucune envie d'y aller, non pas que je me sentais menacer par le jeune homme qui occuperait une chambre avec moi, mais je n'avais pas envie non plus de le voir arriver ! Partant dans la limousine une fois pour toute, j'arrivais une demi-heure après au lycée, inspirant profondément, lettre à la main, pour descendre accompagné du chauffeur qui portait mes bagages. Je marchai pendant plus de dix minutes jusqu'à trouver la porte de la chambre et remarquer que le jeune homme était déjà arrivé. Inspirant une nouvelle fois, j'ouvrais la porte, ne fixant pas le jeune homme et faisant mine de ne pas l'avoir vu. Croisant ensuite son regard accidentellement, je continuais mon chemin jusqu'à mon lit, alors que mon chauffeur déposai mes bagages et me déposa un baiser sur ma joue avant de partir comme-ci de rien était. Je regardais les alentours, c'était assez jolie mais extrêmement petit. Vivre dans cette chambre avec un garçon à mes côtés ne seraient pas tâche facile. Déjà, pour les tensions sexuelles même-ci, je n'étais pas très sexe, ensuite pour les heures de douches, histoire de ne pas se croiser nu. Ce qui me mettrais mal à l'aise. Je m'assied sur mon lit avant de dire au jeune homme :

- Bonjour...Tu es apparemment mon colocataire, moi c'est Alexie, mais n'hésite pas à m'appeler Lexie.

Mon coeur palpitait à cent à l'heure. A vrai dire, je ne parlais pas souvent aux hommes, alors être près d'un homme et dormir dans la même chambre, me rendra très mal à l'aise surtout s'il dormait nu ou en caleçon.

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Et ma colocataire finit par arriver. Elle entra dans la chambre, suivie de près par un homme qui semblait être son employé, portant ses plusieurs bagages. Grâce à ce petit détail - et aussi aux vêtements qu'elle portait qui ne pouvaient qu'être que griffés, je devinai que sa fortune était nettement plus élevée que la mienne... ce qui après tout, était le cas des trois quarts des élèves dans ce pensionnat. Elle m'ignorait carrément, jusqu'au moment où ses yeux se plantèrent dans les miens.... elle les détourna immédiatement. Ok, soit c'était une salope hautaine qui me prenait de haut, soit elle était timide et gênée à l'idée de m'avoir en tant que colocataire. J'espérais vivement qu'elle fasse partie de la deuxième catégorie : ça m'éviterait de la frapper. Son employé finit par quitter la pièce et seulement elle daigna s'intéresser à moi, en s'asseyant sur son lit : Bonjour...Tu es apparemment mon colocataire, moi c'est Alexie, mais n'hésite pas à m'appeler Lexie.

Elle semblait légèrement mal à l'aise. Deuxième catégorie ? Dans tous les cas, cette situation ne m’enchantait guère. Je la scrutai pendant quelques instants - elle était très jolie et m'apparaissait comme faisant partie du petit groupe des intellos filles à papa. Bref, celles qui se laissent facilement choquer.... Je décidai de la tester. Ouais, moi c'est Seth. Je suis gay, en fait. Et j'espère que t'es pas homophobe et que ça te dérangerait pas si j'amène... mes deux copains dans ma chambre la nuit. Tu pourrais juste mettre ton iPod pendant qu'on s'amuserait. Non ok c'était définitivement trop osé. Je regrettai ces mots à l'instants où ils quittèrent ma bouche et me rectifiai immédiatement : Uh je déconne. Je suis hétéro, yaaay. Et je préfère qu'on fasse pas d'horaires pour la douche, je dis pas qu'on devra les prendre ensemble mais juste ça me dérangerait pas de te voir à poil. Heu. Ce n'était pas exactement ce que je voulais dire. Ca ne m'aurait pas gêné de la voir nue, je n'aurai pas fait attention et je ne m'en serai pas souvenu, voilà ce que j'insinuais. Mais je n'eus pas le temps de trouver un terme correct. Résultat, mes termes sonnaient comme celles d'un dragueur ultra-lourd aux lèvres énormes, au regard vicieux.... peu importe. Non, je veux dire que je m'en souviendrai pas. Je ferais pas attention, quoi. C'est vachement plus compliqué d'avoir une meuf comme coloc, l'année dernière j'ai tellement vu les couilles de celui que j'avais avant que je pourrai vachement bien te les décrire. Ok, elle devait tellement penser que j'étais un obsédé.

« we finally meet»


Ouais, moi c'est Seth. Je suis gay, en fait. Et j'espère que t'es pas homophobe et que ça te dérangerait pas si j'amène... mes deux copains dans ma chambre la nuit. Tu pourrais juste mettre ton iPod pendant qu'on s'amuserait. Je soupirais alors. Je voyais déjà le genre de mec auquel je devrais me coltiner toute l'année. Un chiant, gay de plus, non pas que je suis homophobe loin de la, j'ai moi même couché avec ma meilleure amie donc je n'ai rien à dire ç ça. Cependant, sa se voyait directement que ce serait un lourd dingue, qui ne ferait que me déranger lorsque j'apprendrais quelque chose.

Uh je déconne. Je suis hétéro, yaaay. Et je préfère qu'on fasse pas d'horaires pour la douche, je dis pas qu'on devra les prendre ensemble mais juste ça me dérangerait pas de te voir à poil.

Je venais de tomber avec pire que ce que je pensais. Mon regard encore souriant devint alors sérieux. Je n'avais pas l'attention de rester avec un espèce de mec qui avait un pénis à la place du cerveau, et encore moins si monsieur voulait me voir nu. Plutôt mourir que de subir ça ! Je soupirais une nouvelle fois, je ne pensais réellement pas devoir partager ma chambre avec un énergumène de ce genre. J'aurais préféré avoir mon ancienne meilleure amie à sa place, ça m'aurait donné moins de boulot ! Franchement, j'ose espérer qu'il ne faisait que déconner. A vrai-dire je priais Dieu pour que ce soit ça, car sinon, je comptais mettre fin à mes jours dans l'heure qui suivait.

Non, je veux dire que je m'en souviendrai pas. Je ferais pas attention, quoi. C'est vachement plus compliqué d'avoir une meuf comme coloc, l'année dernière j'ai tellement vu les couilles de celui que j'avais avant que je pourrai vachement bien te les décrire.

Je me raclais alors la gorge. J'avais à faire, à un jeune homme autant canon qu'obsédé, qui ne se lassait pas de s'enfoncer ! J'inspirais l'air à bloc, je n'en croyais pas mes oreilles, le jeune homme n'arrivait pas à faire une phrase sans s'enfoncer...Je me mordis la langue sans le faire exprès, et je fis une figure bizarre avant de dire clairement au jeune homme :

- Je me passerais de la description du sexe de ton ancien colocataire. Et quand à faire, j'ai déjà fait un plan pour les heures à respecter pour la douche. Ils seront collés sur la porte de la salle de bain, comme-ça pas moyen que tu puisse l'oublier !

Et c'est sur cette phrase que je me levais donc, marchant jusqu'à la porte de la salle de bain, pour accrocher la pancarte indiquant les heures de douches.

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Lexie semblait assez... énervée. Je l'avais peut-être cherché, mais pas tellement que ça, tout de même. Elle réagit finalement à mes paroles : Je me passerais de la description du sexe de ton ancien colocataire. Et quand à faire, j'ai déjà fait un plan pour les heures à respecter pour la douche. Ils seront collés sur la porte de la salle de bain, comme-ça pas moyen que tu puisse l'oublier ! et pour illustrer ses propos, elle sortit une pancarte et se dirigea vers la salle de bain. J'éclatai de rire. Finalement, ça pourrait être assez amusant de tourmenter cette Lexie qui me semblait assez coincée. Mais pour le moment, je voulais être amical et bien m'entendre avec elle pour m'assurer la paix - mon avis changeait de plus en plus rapidement sur la meilleure solution pour avoir une bonne année malgré ma colocataire. Je me levai et la suivis. Oh merde, je suis désolé si j'avais l'air lourd. Sérieux, j'ai jamais eu une meuf comme coloc et je savais pas que tu allais réagir comme ça, Lexie. un petit tour pratique : terminer une phrase par dire le nom de la fille sur une note grave. Elles aiment toutes ça. Et je vais pas te mater, je suis pas un pervers je veux dire. C'est pas comme si j'étais un puceau en manque quand même.... tu deviens carrément coincée là Lexie. la note grave pour terminer en douceur un reproche. J'étais vraiment fort à ce jeu. Et j'ai du rhum. Le colocataire parfait, en somme. On pourrait pas juste en boire et parler ...?

« we finally meet»

Oh merde, je suis désolé si j'avais l'air lourd. Sérieux, j'ai jamais eu une meuf comme coloc et je savais pas que tu allais réagir comme ça, Lexie.

Déjà, il se sera excusé, mais je n'étais pas très sur de ses dires. Autant dire, qu'il fallait mieux se méfier avec des mecs comme-ça, on se fait très vite avoir et sachant qu'il pense surement que j'étais très facile à avoir, il essaye de me mettre dans sa poche. Très peu pour moi. Je rigolais alors à sa phrase alors qu'il continua :

Et je vais pas te mater, je suis pas un pervers je veux dire. C'est pas comme si j'étais un puceau en manque quand même.... tu deviens carrément coincée là Lexie.

Moi coincée ? Et bien tant mieux, je ne deviendrais alors pas une débile comme-lui...Je soupirais une nouvelle fois, avant de prendre mon smartphone, envoyant plusieurs textos à ma meilleure amie Jude, qui pourrait éventuellement plaire à mon colocataire et éventuellement le faire devenir un peu moins en manque. Car franchement, je n'avais en aucun cas, finir sur le lit avec cet énergumène. Plutôt mourir ! Et encore, le pire serait qu'il me demande de boire de l'alcool. Je bois très rarement de l'alcool et sa ne serait pas avec lui que j'en boirais.

Et j'ai du rhum. On pourrait pas juste en boire et parler ...?

Qu'avais-je dit ? Il veut me saouler pour ensuite pouvoir profiter de moi. De pire en pire ce mec ! Il faut à la limite l'envoyer se faire soigner. Je lui souriais alors hypocritement avant de lui dire :

- Non merci, l'alcool et moi sa fait deux ! Et puis, ta technique d'adoucir les choses, c'est comment dire...Nul ! Enfin bon, j'ai une amie à moi qui va arriver, laisse-lui du rhum je suppose qu'elle en prendra !

«they finally meet & I put my nose between them»



Cours de littérature de merde. Prof pervers de merde. Père qui menace de me ramener a New York de merde. Vie de merde. Appuyée contre le mur je jetais un coup d'oeil par la fenêtre. Il faisait beau, a Los Angeles il fait toujours beau... C'est tellement monotone que c'est parfois chiant... Même si je préfère mille fois le beau temps a la pluie, il faut avouer que l'on arrive plus a autant apprécier le soleil et la chaleur. Je fixais de nouveau le professeur. Il en a pas marre de nous parler de Shakespeare? Je déteste ce cours, je le déteste... Vous ne pouvez même pas savoir a quel point. Bon il faut avouer que mon voisin est sexy et qu'il arrête pas de me draguer... Mais il a toujours peur de se faire choper. Putain de virilité. Dans ce cours, même les bonnes choses ont un coté négatif.

Mon téléphone vibra soudain dans ma poche. J'esquissais un sourire en lisant sur l'afficheur le prénom de ma meilleure amie Alexie -bon je mens, il y avais écrit Lexie, parce que c'est son surnom. Apres avoir passer une bonne quinzaine de minute a textoter avec elle, je me descidais a la rejoindre elle et je cite son colocataire pervers et sexy a sexy a la fois. Bon elle me l'avais demander mais il faut dire que j'allais me faire une joie de quitter cette salle. J'allais mettre en oeuvre un plan très compliquer pour pouvoir sortir -joke- mais le prof s'approcha dangereusement de moi. J'avais encore mon portable a la main, je risquais de me le faire prendre... Et mon père n'allait pas m'en repayer un facilement. Il allait tellement me faire chier avec ses conneries avant de m'en reprendre un que j'en avait déjà marre. Et moi, je peux pas vivre ans BBM. Et Damn. En voulant ranger mon cellulaire,je le fit tomber par terre. Le professeur avait tout vu mais ne dis rien. Yes ! Je me pinçais la lèvre inférieur et le rangeais rapidement. Il fallait maintenant inventer un mensonge pour pouvoir sortir d'ici.

- Monsieur j'ai vraiment mal au ventre... Est-ce que peux aller a l'infirmerie? Demandais-je en prenant une moue plus ou moins aguicheuse. Oui j’étais prête a sortir par tous les moyens. Ni une, ni deux M. Jacobsen -mon professeur- fit un signe positif du visage en laissant passer entre ses dents un Oui. Sourire aux lèvres je pris mon sac et sortit de la salle. Je me dirigeai en courant -façon de parler- vers la chambre de Lexie, A238 avait-elle dit. Une fois en face de cette chambre. Je frappais a la porte. puis remarquant que la porte était ouverte j'entrais. Je me jetais dans les bras d'Alexie ignorant. Cela faisait un bon bout de temps que je ne l'avais pas vu.

- Tu m'as trop manquée mon coeur ! Alors tu vas bien ? Demandais-je enthousiaste. Je me tournais donc vers son colocataire hyper sex, comme elle l'avait dit. Et... Oh mon Dieu. Je le connaissais. Oui je le connaissais très bien. Je le connaissais trop bien même. On avait passer une nuit très torride ensemble cet été. Bon je l'avais rencontrer en boite et on était bourrés. D'habitude je n'aime pas retrouver mes aventures d'une nuit comme ça quand je suis avec des potes. C'est gênant, je veux dire on va se dire quoi? T’étais bon l'autre jour? Laissez moi rire. Je lui souris tout simplement.

- Hi Seth, ça fait longtemps ! J’étais plus tellement enthousiaste. Mais voila... J'allais faire quoi lui sauter dessus et lui sortir une réplique du genre on re-baise quand tu veux. Je regardais Alexie de nouveau et lui glissais pas très discrètement un: Oui, je le connais.

« we finally meet but she's putting her nose between us...»


Non merci, l'alcool et moi sa fait deux ! Et puis, ta technique d'adoucir les choses, c'est comment dire...Nul ! Enfin bon, j'ai une amie à moi qui va arriver, laisse-lui du rhum je suppose qu'elle en prendra ! Hm. Ok, donc elle se prendra bien ma main sur sa gueule, finalement. Je sentis des vulgarités courir le long de ma langue - façon de parler, en fait j'avais vachement envie de l'insulter, mais cette amie à elle déboula dans la chambre. Je détournai le regard avec lassitude en la regardant se jeter sur sa stupide amie en hurlant à quel point elle lui avait manqué... typiquement féminin. Puis elle se tourna vers moi. Hi Seth, ça fait longtemps ! Ok. Je pivotai pour me retrouver avec une fille dont je ne me souvenais de pas grand chose à part de me l'être faite pour bien commencer l'été. Je l'entendis chuchoter quelque-chose à Lexie mais je n'y faisais pas très attention.... Je sentis alors une énorme envie de rire remonter - excusez moi, la situation était beaucoup trop comique - et me retournai vers la fenêtre en pouffant discrètement. Je fis mine de m'intéresser au paysage tout en riant doucement, puis finit par me calmer et me tournai, non sans un grand sourire. Heu oui, Jude...? T'es pensionnaire ici toi aussi... ahah. si ce n'était pas son prénom la situation risquerait d'être encore plus.... étrange. Je ris à nouveau légèrement. Enfin. Je disais, des horaires de douche sont vraiment pas nécessaires, de toute façon je les respecterais pas, si tu crois que j'ai que ça à foutre ! Et sur cette déclaration théâtrale, je m'allumai une cigarette, et entre deux bouffées, glissai : C'est pas parce-que tu n'as jamais vu un monsieur tout nu que tu dois m'imposer tes conneries. Je lançai mon paquet à Jude qui, si mes souvenirs étaient bons, fumait aussi.

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Lorsque j'eus terminée ma phrase, je fis apparaître une pancarte, l'accrochant ensuite sur la porte de la salle de bain. Ni une ni deux, mademoiselle Jude arriva comme une ahurie sur moi. Autant dire que malgré son apparence, elle était plus lourde que nous l'aurions pensé.

- Tu m'as trop manquée mon coeur ! Alors tu vas bien ?

Forte heureusement, j'allais mieux depuis que la jeune femme avait fait son apparition. Bien évidemment, elle avait dû faire un de ses numéros pour pouvoir sortir de son cour. Et puis, sachant comment elle était magnifique, le professeur à l'haleine de Malboro, aurait dû accepter en regardant bien sur, son cul ! Son professeur, je le connaissais, il améliorait les notes si tu couchais ou encore si tu montrais ton décolleté et il était capable de baisser une note car nous avions refusés de vouloir couché avec ce vieux ! Autant dire, que je préfère avoir une mauvaise note que de coucher avec un mec comme lui pour pouvoir avoir une note qui ne serait bien sur pas à la loyal. Néanmoins, personne n'arrivait à ma cheville côté cours, donc je n'avais pour l'instant aucun problème. La jeune femme qui était devant moi, se tourna ensuite, saluant le jeune homme. Je venais à peine de connaître son prénom, qu'elle, elle le connaissait déjà. Surement un coup d'un soir. A vrai dire, je n'en avais rien à faire, s'il voulait se la taper au lieu de me violer, sa me conviendrais amplement. Elle s'approchait ensuite de moi, m'annonçant dans les oreilles, qu'elle le connaissait. Je n'étais pas cruche, et vu les yeux qu'elle lui faisait, sa se voyait qu'elle le connaissait. Après tout, avec qui Jude n'a pas couché à part moi ? Personne, ou presque ! Je soupirais alors, mais le jeune homme vint gâché ma joie qu'il se taisait pour s'adresser à Jude et ensuite me dire :

Enfin. Je disais, des horaires de douche sont vraiment pas nécessaires, de toute façon je les respecterais pas, si tu crois que j'ai que ça à foutre !

Pour qui se prenait-il franchement ? J'étais autant frustré qu'énervé ! Comment pouvait-il me dire ça comme-ça ? Comment pouvez-t-il ignorez les horaires de douche ? C'était impossible, il fallait absolument que je quitte cette chambre, que j'ai un autre colocataire même-ci malheureusement je ne peux le faire...Il alluma ensuite une cigarette, tendant le paquet à ma meilleure amie.

C'est pas parce-que tu n'as jamais vu un monsieur tout nu que tu dois m'imposer tes conneries.

Je ne pouvais plus le supporter, ni une ni deux, je pris le paquet de cigarette dans mes mains, le lançant jusqu'à la poubelle, et pris ensuite la clope de la bouche du jeune homme et lui dire :

- Pas de clopes ici merci ! Et, je n'impose aucune connerie, mais à ce que je sache nous sommes colocataires alors quelques règles pourraient-être respecter tu penses pas ? Ah non, tu penses pas, tu m'impose tellement ta débilité de merde que c'est sur, que tu penses pas hein !

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- Heu oui, Jude...? T'es pensionnaire ici toi aussi... ahah. Me fit-il avant de se retourner vers Lexie. Ça lui faisait plaisir a lui aussi de me revoir a ce que je vois - ah ironie quand tu nous tiens. Enfin. Je disais, des horaires de douche sont vraiment pas nécessaires, de toute façon je les respecterais pas, si tu crois que j'ai que ça à foutre ! Ça m’étonnais pas de Lexie... Mais c’était pas un peu abusée? Des horaires. J'esquissais un sourire... A vrai dire j'aurais plutôt pouffer mais j'avais heureusement jeter un coup d'oeil a Alexie et elle avait l'air remontée. Donc il valait mieux pas exploser de rire. Seth sortit un paquet de clopes et se mit a fumer... Il me le lança ensuite. J'avais pas fumer de la journée, une clope allait me faire le plus grand bien. Mais Alexie intercepta le paquet et le jeta a la poubelle. Pourquoi?

- Pas de clopes ici merci ! Et, je n'impose aucune connerie, mais à ce que je sache nous sommes colocataires alors quelques règles pourraient-être respecter tu penses pas ? Ah non, tu penses pas, tu m'impose tellement ta débilité de merde que c'est sur, que tu penses pas hein ! Lâcha brunette après s’être emparée de la cigarette de Seth.

Pour être remonter elle l’était. C'est la que je commençais a me dire que j'aurais peut-être mieux fait de rester en cours avec Jacobsen. Au moins la bas je pouvais rire a ma guise. M'enfin... L'ambiance était pourri et je pouvais même pas allumer une cigarette de peur que Lexie jette mon paquet aussi. Je me dirigeais vers l'un des deux fauteuils sous la fenêtre, puis me laissais glisser dessus.

- C'est pas que je veux me taper l'incruste, je veux dire vous faites ce que vous voulez, mais vous allez cohabiter pendant un an... Et je pense que le mieux ce serait de se respecter l'un l'autre... Genre, Lexie tu laisse Seth fumer, mais Seth tu respecte les horaires de douche pour qu'elle garde son intimité. Mon intervention était je crois a sa place, enfin j’étais objective et c’était la meilleure solution. M'fin c'est bizarre que moi je dise ça, c'est pas trop mes affaires en plus. Ajoutais-je en jouant avec le rideau juste derrière moi.

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Pas de clopes ici merci ! Et, je n'impose aucune connerie, mais à ce que je sache nous sommes colocataires alors quelques règles pourraient-être respecter tu penses pas ? Ah non, tu penses pas, tu m'impose tellement ta débilité de merde que c'est sur, que tu penses pas hein ! Je lançai un regard noir à ma si charmante et bien-aimée colocataire tandis que Jude s'activait, prenant le rôle d'une médiatrice : C'est pas que je veux me taper l'incruste, je veux dire vous faites ce que vous voulez, mais vous allez cohabiter pendant un an... Et je pense que le mieux ce serait de se respecter l'un l'autre... Genre, Lexie tu laisse Seth fumer, mais Seth tu respecte les horaires de douche pour qu'elle garde son intimM'fin c'est bizarre que moi je dise ça, c'est pas trop mes affaires en plus.

Exactement... songeai-je en roulant des yeux. Je décidai tout de même de ne pas m'attirer les foudres de la deuxième fille dans la pièce, surtout que c'était un bon coup. Aucun rapport, certes, mais cela jouait tout de même en sa faveur... J'ai une idée, ma jolie. lançai-je avec ironie à Lexie. T'as qu'à pendre une feuille, marquer " prise " dessus et la scotcher à la porte quand t'es dedans... Mais c'est mort que je l'utilise. Elle n'allait quand même pas m'obliger à faire partie de ces plans compliqués pour ne jamais voir l'autre à poil, si ? Je n'étais pas particulièrement pudique, mais j'étais tombé sur la seule garce coincée du bahut. Yay... Je sortis ma bouteille chérie de rhum du mini-frigo et lançai : Je préviens tout de suite, je garde mes bouteilles et si t'y vois un inconvénient, je peux aussi te les écraser sur le crâne.... J'en pris une gorgée puis reconsidérai Jude : T'en veux ? Et merci de jouer la médiatrice. Même si quelqu'un dans cette pièce est trop borné et coincé.... je suppose que cette personne se reconnaitra ! lançai-je avec un air gamin sur le visage. Sur ces mots emplis de sagesse, je traversai la pièce pour m'asseoir à côté d'elle et lui tendre la bouteille... surtout pour m'éloigner de Lexie qui, chaque fois qu'elle ouvrait la parole, me donnait une merveilleuse envie de me défouler sur son petit corps frêle.

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Tandis que mon colocataire parfaitement charmant ou presque me lança un regard noir, ma meilleure amie s'assied sur le canapé et dit alors :

C'est pas que je veux me taper l'incruste, je veux dire vous faites ce que vous voulez, mais vous allez cohabiter pendant un an... Et je pense que le mieux ce serait de se respecter l'un l'autre... Genre, Lexie tu laisse Seth fumer, mais Seth tu respecte les horaires de douche pour qu'elle garde son intimité. M'fin c'est bizarre que moi je dise ça, c'est pas trop mes affaires en plus.

Elle n'avait peut-être par tort certes, mais j'avais horreur des cigarettes, ça avait le don de me rendre encore plus conne que je l'étais déjà. Quoi, j'ai dit conne ? Désolée je voulais dire coincée, surement la débilité du jeune mec qui se postait devant moi qui me contaminait peu à peu. De tout de manière, s'il me violait, il serait poursuivit en justice et finirait sa vie en prison. Banal pour un aussi beau garçon. Car, même-ci le jeune homme avait le don de m'exaspérer, je pouvais avouer quand un garçon est plutôt canon, et je l'avoue mon colocataire l'était. Me mordant la lèvre, celui-ci roula les yeux, comme pour dire à ma meilleure amie qui jouait la médiatrice qu'elle avait raison avant qu'il réponde :

T'as qu'à pendre une feuille, marquer " prise " dessus et la scotcher à la porte quand t'es dedans... Mais c'est mort que je l'utilise.

Je savais de tout de manière, qu'il ferait exprès de n'utiliser ni les horaires de douches ni cette feuille qui annoncerait que quelqu'un soit dans la douche. Trop, pervertis pour le jeune homme. Soit, il était perverti, c'était super pour lui sauf que moi, je n'étais guère de cet avis qui me déplaisait amplement. Malheureusement, je ne pouvais rien y faire, il était mon colocataire et il avait sa personnalité et moi la mienne. Je devais cohabiter avec celui-ci pendant environ un an, et je devrais le supporter comme lui me supporter. Donc autant s'entendre sur quelques choses et faire des concessions même-ci j'avais horreur de faire ceci. Il ajouta ensuite, après avoir pris une bouteille de rhum dans le frigo

Je préviens tout de suite, je garde mes bouteilles et si t'y vois un inconvénient, je peux aussi te les écraser sur le crâne... T'en veux ? Et merci de jouer la médiatrice. Même si quelqu'un dans cette pièce est trop borné et coincé.... je suppose que cette personne se reconnaitra !

Après ses quelques mots, le jeune homme parcourait la pièce, rejoignant ma meilleure amie et l'invitant à boire. A vrai dire, je n'avais rien contre l'alcool, même-ci ce n'est pas pour autant que j'allais en boire, mais l'alcool ne me donnait pas des maux de tête à l'odeur donc je n'avais aucun problème. Le vrai problème était qu'il soit saoul et qu'il devienne un mec complétement en manque. Dans ce cas là, je serais obligé de me battre et d'utiliser tout les cours de pratiques de Karaté que j'ai suivi lorsque j'étais petite. Je n'avais rien oublié, et si je devais les utiliser, je le ferais ! Je soupirais alors avant de lui lancer avec un regard noir :

- Il n'y a aucun inconvénient avec ton alcool, tant que tu ne me sautes pas dessus une fois saoul. Même-ci à première vue, tu dois supporter l'alcool. Ensuite, tu ne veux pas respecter les horaires de douches et bien très bien, il n'y aura pas de clope dans cette chambre. J'aurais fait quelques concessions si tu aurais accepté cela mais sachant que j'ai un colocataire encore plus borné que moi !

«they finally meet & I put my nose between them»


- J'ai une idée, ma jolie. T'as qu'à pendre une feuille, marquer " prise " dessus et la scotcher à la porte quand t'es dedans... Mais c'est mort que je l'utilise.

Bonjour l'ambiance dans cette chambre. Je sais que Lexie est pas mal difficile a vivre mais c'est une bonne pote toujours la quand il faut et blablabla... Donc faut essayer de la comprendre. C'est vrai que le fait de vouloir mettre des horaire pour les douches pour que personne ne voit l'autre a poil, ça parait pathétique. Mais la pudeur c'est un droit, non? Apres le fait que elle le voit a poil ça va lui faire quoi? Idéologiquement je suis plus du camps de Seth mais sentimentalement je suis du camps de ma meilleure amie, quand même. M'fin bref... Laissez tomber. Je leur souhaite juste bonne chance pour cohabiter. Le dit Seth s'en alla chercher une bouteille de Rhum dans le mini-frigo et se dirigea vers moi. Pourvu que Lexie jette pas la bouteille aussi, parce que je veux du Rhum la surtout que j'ai mal a la tête. Seth me devança et dit a Alexie que si elle avait un problème avec l'alcool aussi il comptait lui casser sur la tête. Elle allait pas aimé ce coté brutal... Il s'assit prés de moi et me toisa. Il ouvrit la bouteille et but au goulot. J'entendait presque le son de l'eau qui parcourait son œsophage - non je déconne je suis pas adict a ce point. C'est la qu'il me tendis la bouteille.

- T'en veux ? Et merci de jouer la médiatrice. Même si quelqu'un dans cette pièce est trop borné et coincé.... je suppose que cette personne se reconnaitra !

Je gratifiais Seth d'un Merci puis m'emparait de la bouteille et bu quelques gorgées avant de lui rendre. Je préférais ne pas commenter parce que bon il avait un peu raison même s'il s'y prenait de manière gamine et je voulais voulais m'attirais les foudres de Lexie pour de telles futilités.

- Il n'y a aucun inconvénient avec ton alcool, tant que tu ne me sautes pas dessus une fois saoul. Même-ci à première vue, tu dois supporter l'alcool. Ensuite, tu ne veux pas respecter les horaires de douches et bien très bien, il n'y aura pas de clope dans cette chambre. J'aurais fait quelques concessions si tu aurais accepté cela mais sachant que j'ai un colocataire encore plus borné que moi !

Lexie y aller un peu fort aussi, il fallait dire. Je veux dire c'est quoi ça Il n'y a aucun inconvénient avec ton alcool, tant que tu ne me sautes pas dessus une fois saoul. Moi je l'aurais frapper si j’étais a sa place quoi. J'haussai un sourcil. Je repris la bouteille de Seth d'entre ses mains et en rebut. Il allait surement pas le prendre mal, sauf s'il est radin. En ayant marre de beaucoup réfléchir et de ne rien dire je me décidais a sortir une phrase débile ou philosophique ça dépend de comment on le voit.

- Lexie, il va pas te violer, enfin je crois pas quoi. C'est pas en se bourrant la gueule qu'on se convertit en violeur professionnel ou chai pas quoi... Fis-je en reposant la bouteille. Puis ne voulant pas trop défendre Seth, ce qui était difficile parce qu'on avait la même idéologie, parce que Alexie m'as quand même quasi appeler pour l'aider je repris: Et toi aussi tu pourrais faire des compromis, genre scotcher un bout de papier sur une porte ça prend combien de temps? 30 seconde, quoi. Je veux dire si vous continuez comme ça, ca va pas être la joie de cohabiter, déjà que ça semble pas l’être.

« we finally meet but she's putting her nose between us...»
Il n'y a aucun inconvénient avec ton alcool, tant que tu ne me sautes pas dessus une fois saoul. Même-ci à première vue, tu dois supporter l'alcool. Ensuite, tu ne veux pas respecter les horaires de douches et bien très bien, il n'y aura pas de clope dans cette chambre. J'aurais fait quelques concessions si tu aurais accepté cela mais sachant que j'ai un colocataire encore plus borné que moi ! protesta Lexie, qui à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche, produisait un discours véhément. Lexie, il va pas te violer, enfin je crois pas quoi. C'est pas en se bourrant la gueule qu'on se convertit en violeur professionnel ou chai pas quoi... Et toi aussi tu pourrais faire des compromis, genre scotcher un bout de papier sur une porte ça prend combien de temps? 30 seconde, quoi. Je veux dire si vous continuez comme ça, ca va pas être la joie de cohabiter, déjà que ça semble pas l’être. objecta Jude, toujours aussi fidèle à son rôle de médiatrice en me piquant de temps en temps ma bouteille.

J'esquivai un sourire. La situation était toujours aussi comique. Lexie ne m'énervait même plus. Bon, j'avais toujours été plutôt lunatique mais dans ce cas-là je ne me l'expliquais pas. Une seconde avant j'aurais été près à les faire basculer toutes les deux par la fenêtre et d'un coup je les aimais bien. Lexie, j'ai pas envie de dte baiser, c'est quand que tu vas réaliser cela ? bon, soyons honnêtes quand même, Seth... Pas sans ton consentement. ça allait pas lui plaire. Je bus un peu de rhum : Mais j'ai quelques règles aussi. Par exemple, tes petites " pyjama party " avec ta bestaaah Jude... pas quand je suis là. Ah et au fait, je ne suis pas pervers ! Je suis le parfait équilibre. Toi, en revanche, t'es dans la catégorie extrême des prudes ma jolie, même si tu vas surement le nier en me gueulant un raisonnement débile...

Fier de ma réaction hautement classe et diplomatique, je me levai du fauteuil en emportant ma bouteille, Jude étant trop gourmande en alcool à mon gout - elle s'était envoyée presque la moitié de mon rhum. Et j'avais pas trop les moyens de m'en offrir une vingtaine, contrairement à elle. Je m'écrasai sur mon lit et lançai : Je prends celui-là ! C'est celui le plus proche de la porte, du coup si un tueur et violeur en série vient, il m'aura en premier et tu pourras courir... pas besoin de me remercier. en fait, c'était le plus loin de la fenêtre du coup si des rayons de soleils ninjas parvenaient à se frayer un chemin entre les rideaux, je serais immunisé.

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Lexie, il va pas te violer, enfin je crois pas quoi. C'est pas en se bourrant la gueule qu'on se convertit en violeur professionnel ou chai pas quoi... Et toi aussi tu pourrais faire des compromis, genre scotcher un bout de papier sur une porte ça prend combien de temps? 30 seconde, quoi. Je veux dire si vous continuez comme ça, ça va pas être la joie de cohabiter, déjà que ça semble pas l’être.

Jude avait peut-être raison. J'avais bien dit peut-être, car même-ci j'avais confiance en Jude, ce n'était pas encore le cas pour le jeune homme qui se présentait à côté de ma meilleure amie. De plus, ma meilleure amie ne faisait que boire et finalement avait bu prêt de la moitié de la bouteille de rhum. Je soupirais une nouvelle fois, il fallait que je sois zen et que je ne m'énerve surtout pas. Après tout, Jude ou la médiatrice avait dit, nous allions restés dans cette chambre ensemble pendant un an. Alors autant avoir des ententes et faire des compromis.

Lexie, j'ai pas envie de te baiser, c'est quand que tu vas réaliser cela ? Pas sans ton consentement.

Qu'avais-je dit ? En réalité il m'aurait bien sauté dessus si j'avais cédé. Déjà, je n'ai pas à craindre qu'il vienne me violer. Finalement, même-ci je ne pouvais pas réellement voir le jeune homme, il me plaisait assez; Non pas physiquement, depuis que je suis entré dans la chambre, j'avouais qu'il était canon, je parlais plutôt là de son moral. Certes, il adore me contredire, me faire chier et me mettre en rogne, mais ce n'est pas un mec relou, qui me tuera ou me menacera pour de l'argent. Du moins, c'est ce que je pensais actuellement

Mais j'ai quelques règles aussi. Par exemple, tes petites " pyjama party " avec ta bestaaah Jude... pas quand je suis là. Ah et au fait, je ne suis pas pervers ! Je suis le parfait équilibre. Toi, en revanche, t'es dans la catégorie extrême des prudes ma jolie, même si tu vas surement le nier en me gueulant un raisonnement débile...

Je ne sais pas pour vous, mais d'après sa remarque, on aurait pensé qu'il était fier de sa remarque. Moi cependant, j'avais bien envie de lui dire mes quatre vérités en face. Je soupirais une nouvelle fois, car j'adorais soupirer après les phrases de mon colocataire alors que celui-ci repris une fois levé

Je prends celui-là ! C'est celui le plus proche de la porte, du coup si un tueur et violeur en série vient, il m'aura en premier et tu pourras courir... pas besoin de me remercier.

L'excuse bidon. Néanmoins, ça ne me dérangeait point, j'étais près de la fenêtre et j'adorais que mon lit soit illuminé et comme-ça, même-ci je ratais mon réveil, le soleil me réveillerais...

- Tu vois mes raisonnements débiles, ils t'emmerdent ! Je suis prude tant mieux, au moins je ne suis pas dans la catégorie des salopes bitchs du lycée ! Si t'es pas content c'est pareil, t'a qu'à fermer ta gueule un peu !

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- Lexie, j'ai pas envie de te baiser, c'est quand que tu vas réaliser cela ? Pas sans ton consentement. Mais j'ai quelques règles aussi. Par exemple, tes petites " pyjama party " avec ta bestaaah Jude... pas quand je suis là. Ah et au fait, je ne suis pas pervers ! Je suis le parfait équilibre. Toi, en revanche, t'es dans la catégorie extrême des prudes ma jolie, même si tu vas surement le nier en me gueulant un raisonnement débile... Fit le jeune homme en se remparant de sa bouteille - dont en passant, j'avais bu la moitié. Lexie n'allait pas apprécier et il le savait surement mieux que moi. De toute façon elle ne le cacha pas longtemps.

- Tu vois mes raisonnements débiles, ils t'emmerdent ! Je suis prude tant mieux, au moins je ne suis pas dans la catégorie des salopes bitchs du lycée ! Si t'es pas content c'est pareil, t'a qu'à fermer ta gueule un peu ! Retoqua-t-elle, ce qui ne m’étonna guère.

Cela faisait un bon moment qu'ils se disputaient. Ce n’était même pas mon problème et je ne voulais pas placer une remarque déplacer qui déplairait l'un des deux. Je m’ennuyais. De temps a autre je jouais avec mon collier. Mon collier préférais. Qui s'assortissais parfaitement a mon débardeur vintage et mon mini-short déchiré en jean Armani. Je ne faisait rien. Autant textoter avec des potes. Je me dirigeais vers mon sac a l'autre bout de la pièce sans me rendre compte que Seth s’était lever entre temps. Bref... Le résultat fut que mon beau débardeur Dior était taché. Il était nouveau en plus. Mécaniquement je l'enlevais pour mieux voir la tache, en fait je ne sait plus pourquoi j'avais fait ça - si, si de toute façon je suis loin d’être pudique et Seth avait tout vu.

- C'est la première fois que je le mets en plus, bon pour te faire pardonner passe moi un tee-shirt... Parce que je pourrais pas sortir comme ça! Fis-je en souriant tout de même.

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Tu vois mes raisonnements débiles, ils t'emmerdent ! Je suis prude tant mieux, au moins je ne suis pas dans la catégorie des salopes bitchs du lycée ! Si t'es pas content c'est pareil, t'a qu'à fermer ta gueule un peu ! C'était reparti pour un tour. J'avais à nouveau envie de la frapper, elle devenait vulgaire et ça ne me plaisait pas... je me tournai vers Jude en quête de soutien. Et remarquai qu'elle n'avait plus que ses soutiens. C'est la première fois que je le mets en plus, bon pour te faire pardonner passe moi un tee-shirt... Parce que je pourrais pas sortir comme ça! fit-elle en agitant son débardeur moche tâché de rhum.

T'as qu'à pas sortir d'ici alors... lançai-je avec un sourire. Mais pensant à la crise que péterait Lexie si je continuai à mater son amie, j'enlevai mon tee-shirt pour le lui balancer. Ce qui allait sans doute provoquer une crise de la part de la meuf que je rêvai de défigurer. Je me tournai vers elle : Ok, TOI tu fermes ta gueule et tu m'évites de subir tes crises de vierge effarouchée, tu devrais vraiment te prendre un gros coup de bite ça te décoincera et tu le mérites. Y avait pas un truc qui manquait ? Salope va. voilà, c'était beaucoup mieux.

En la foudroyant du regard j'enlevai aussi mon jean, pour la forme, pour ensuite me retrouver comme un con en boxer devant elles. Ça valait le coup, j'étais sur que ça allait la faire criser. Me désintéressant d'elle, je m'adressai directement à Jude : Désolé pour ton tee-shirt, mais j'ai pas trop les moyens de te le repayer. De toute façon, il était moche. Mais ça faisait beau sur toi, t'es bien foutue. la magie des booobs. J'ai pas l'habitude de retrouver les meufs avec qui j'ai baisé, mais bon t'es cool... dis-je en haussant un sourcil. Oui, elle était pas folle. Du moins, pas totalement - fallait l'être pour être pote avec la chose à l'autre bout de la pièce.

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Ok, TOI tu fermes ta gueule et tu m'évites de subir tes crises de vierge effarouchée, tu devrais vraiment te prendre un gros coup de bite ça te décoincera et tu le mérites. Salope va.

Pour qui se prenait-il franchement ? Et puis, qui lui disait que j'étais encore vierge ? Bon, ok, je n'avais jamais pris de gros coup de bite comme il dit si bien, mais ce n'est pas pour autant que je n'avais jamais eut de relations sexuelles. Mais qu'il allait se faire foutre quoi ! Un gros connard quoi ! Ce qu'il attendait de moi, que je lui saute dessus pour lui montrer que je n'étais pas la vierge effarouché que je paraissait être. Seulement, ça ne marchait pas avec moi. Pas du tout même ! A vrai dire, ça ne me faisait ni chaud ni froid qu'il enlève son tee-shirt puis son jean pour laisser apparaître son boxer, qui était déjà affreux ! Franchement, il n'y avait que les débiles pour pouvoir tâcher un tee-shirt Dior alors que nous n'avons pas les moyens pour le rembourser. Je n'avais rien contre les gens avec un train financier bien moindre que le mien, mais il y avait des limites. Quand on éduque son enfant, nous n'oublions pas de l'apprendre à respecter les femmes, et de ne pas frustrer certaines ! Dommage, il n'a jamais dut l'apprendre...

- Nan mais tu sais, la ferme toi aussi ! Tu ouvres ta gueule alors que nous ne t'avions rien demandé. Et puis, qui te dit que je suis encore vierge ? Tu sais, les apparences sont parfois trompeuses, malheureusement ton apparence ne l'es pas ! Tu es bien un gosse qui fait rien de sa vie à part baiser et se saouler...

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- T'as qu'à pas sortir d'ici alors... Fit-il en souriant quasi perversement, car il s’était pas gêner pour me mater. Il me balança tout de même son tee-shirt. Je le gratifiais d'un sourire et m'en emparait alors que ce dernier avait aussi retirer son pantalon. Cela ne me dérangeais pas, bah oui il est beau hein, mais a quoi bon? Il se retourna ensuite vers Alexie et lui lança: Ok, ToI tu fermes ta gueule et tu m'évites de subir tes crises de vierge effarouchée, tu devrais vraiment te prendre un gros coup de bite ça te décoincera et tu le mérites. Salope va. Il était peut-être allez trop loin sur ce coup la.

- Nan mais tu sais, la ferme toi aussi ! Tu ouvres ta gueule alors que nous ne t'avions rien demandé. Et puis, qui te dit que je suis encore vierge ? Tu sais, les apparences sont parfois trompeuses, malheureusement ton apparence ne l'es pas ! Tu es bien un gosse qui fait rien de sa vie à part baiser et se saouler... Lui répondit Lexie. Au moins ils étaient quittes et entre temps j'avais mis le Tee-shirt de Seth. J'avais vraiment pas envie d'intervenir dans leurs trucs. Déjà premièrement parce que c’étaient comme dit plus haut leurs trucs et deuxièmement parce que c’était pire que futile. Bref Seth se retourna vers moi et me fit:

- Désolé pour ton tee-shirt, mais j'ai pas trop les moyens de te le repayer. De toute façon, il était moche. Mais ça faisait beau sur toi, t'es bien foutue J'ai pas l'habitude de retrouver les meufs avec qui j'ai baisé, mais bon t'es cool... Il était cool aussi fallait dire...

- Merci. T'es cool et bien foutu aussi hein, faut juste que t’arrête de t'engueuler avec ma meilleur amie. Dans ce cas tu seras parfait. Dis-je en souriant tout le monde savait que ni moi, ni lui, ni Lexie etions parfait alors... Ah et c'est pas grave pour le tee-shirt, par contre il est pas moche, m'indignais-je bon peut-être qu'il le trouvais moche, mais il fait partit de la dernière collection Dior et il était vraiment beau, fin toutes les filles que je connais auraient tuer pour l'avoir. En plus je crois que ce genre de tache ça part a la machine, non? En fait je n'en savait rien du tout parce que toutes les fins de semaines mon père envoie quelqu'un s'occuper de mon linges et mettre un peu d'ordre dans la chambre.

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Nan mais tu sais, la ferme toi aussi ! Tu ouvres ta gueule alors que nous ne t'avions rien demandé. Et puis, qui te dit que je suis encore vierge ? Tu sais, les apparences sont parfois trompeuses, malheureusement ton apparence ne l'es pas ! Tu es bien un gosse qui fait rien de sa vie à part baiser et se saouler... j'esquissai un sourire tout en fouillant ma valise à la recherche d'un truc à mettre. Car j'avais vraiment l'air con. Enfin, ça je m'en foutais car celles qui voyaient ça n'étaient pas mieux - l'une moins que l'autre - mais j'avais cours dans vingt minutes. Et ça n'avait même pas eu l'air de choquer Lexie- dommage, j'adorais faire ça. Je trouvai enfin un tee-shirt rose vif.... heu. C'était à moi, ça ? Je l'échangeai avec un autre que je mis, puis remis mon jean. J'avais cours dans une vingtaine de minutes, en plus.

Merci. T'es cool et bien foutu aussi hein, faut juste que t’arrête de t'engueuler avec ma meilleur amie. Dans ce cas tu seras parfait. Ah et c'est pas grave pour le tee-shirt, par contre il est pas moche. En plus je crois que ce genre de tache ça part a la machine, non? Je souris. Comme si t'en savais quelque-chose. lançai-je. Bon c'est pas que je m'ennuie les enfants mais moi j'y vais, ce débat commence à tourner en rond. Bon salut Jude et la mal-baisée ! et sur ces paroles théâtrales, je sortis. Ok c'est quoi qui venait de se passer ?...

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Bon c'est pas que je m'ennuie les enfants mais moi j'y vais, ce débat commence à tourner en rond. Bon salut Jude et la mal-baisée !

Il partait enfin ! Tant mieux ! Mais regardant l'heure sur mon horloge, je vis aussi que je devais partir en cours dans à peine quinze minutes. Enlevant rapidement ma chemise, je laissais désormais apparaître mon haut de sous vêtement, ouvrant ma valise et prenant un débardeur de couleur noir. Enlevant ensuite la petite jupette que je portais actuellement, nous pouvions désormais voir ma petite culotte qui n'était en rien un string mais pas non plus une culotte "bateau" autrement dit de grand-mère. Prenant un jean slim, n'ayant pas le temps de prendre les vêtements que je portais normalement, je le mis. Passant ma langue sur mes lèvres sèches, je passais ensuite mon regard sur ma meilleure amie qui portait un tee-shirt de mec.

- T'es sur que tu veux pas, un débardeur ou un truc dans le genre ? En tout cas si t'a besoin sert toi, faut que j'aille moi aussi en cours.

Avançant vers elle, jusqu'à l'embrasser sur sa joue gauche et elle sur ma joue droite, je partie comme j'étais rentré, stressée de savoir qui serait le professeur que j'aurais en mathématique.